Littérature

durée : 00:29:42 - Le Feuilleton - "La mer est profonde, elle change de couleur, on dirait qu’elle respire. Heureusement qu’elle est là, parfois, les journées s’écoulent sans que rien ne se passe, alors, nous observons le fjord qui bleuit puis s’assombrit comme une apocalypse"

durée : 00:28:59 - Le Feuilleton - "Il est fort probable qu’une chose se brise en vous, peut-être même la corde du cœur, lorsque celui que vous pensez connaître de fond en comble, qui vous a séduite et que vous avez épousée, devient un beau jour un parfait inconnu."

durée : 00:29:59 - Le Feuilleton - "Voilà, nous en avons fini, nous retournons au silence. Bientôt, quelqu’un pourra venir tourner la boîte à musique et là, on entendra peut-être les notes fragiles de l’éternité."

durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - "La vie… La vie doit être un scintillement d’étoiles et non un abîme de deuil et de souffrance. La vie est difficile, mais elle est tout de même plus facile que la mort, cette saloperie qui nous prive de tout."

durée : 00:29:00 - Le Feuilleton - "Le monde n’est jamais bon, voilà pourquoi il est toujours douloureux de devoir se passer d’une personne bonne et douce."

durée : 00:45:07 - Fictions / Théâtre et Cie - "Si l’Orchestre m’était conté" est une série de concerts de l’Orchestre Philharmonique de Radio France qui associe sur scène le récit à la musique.

durée : 01:01:56 - Samedi fiction - En 1848, Wagner commence à écrire le livret d’un opéra qui deviendra Le Crépuscule des dieux. Puis il a une idée inouïe : écrire un cycle d’opéras dont l’histoire se déroule sur quatre soirées et dure environ 15 heures ! C’est ainsi que naît L’anneau du Nibelung appelé aussi la Tétralogie, ou Ring. - invités : Pierre Senges Écrivain, scénariste

durée : 00:28:51 - Le Feuilleton - " C’est le propre de l’être humain que de s’attacher à décrire les évidences lorsqu’il n’ose pas interroger sur l’essence, êtes-vous triste, les enfants sont-ils vivants, Ásta vous manque-t-elle affreusement ? "

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "C’est vrai, la délicatesse et la fragilité sont le cœur de l’homme, nous le percevons douloureusement au printemps, lorsque l’existence danse sur le fil du rasoir, entre vie et mort."

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - "Une caresse, un frôlement peuvent en dire plus que tous les mots du monde, c’est vrai, mais la caresse s’estompe au fil des ans et alors, nous avons à nouveau besoin des mots, ils sont nos armes contre le temps, la mort, l’oubli, le malheur"

durée : 00:20:50 - Lectures du soir - "La lecture, c’est une manière de s’approprier le monde culturel, en même temps qu’un plaisir. Je m’appropriais le monde, c’est-à-dire essentiellement la planète."

durée : 00:20:37 - Lectures du soir - "Il y a quelque chose d’urgent dans une pièce. De sorte que le théâtre qu’on écrit vous met, quand il est joué, dans une espèce d’état d’urgence tous les jours. Un livre c’est mort, c’est un objet mort."

durée : 00:20:51 - Lectures du soir - "Je m’étais lassé de faire de la philosophie. Vous savez, ça vient toujours comme ça la philosophie, chez moi en tout cas. J’ai fait L'Être et le néant et puis je me suis fatigué ; là aussi il y avait une suite possible, je ne l’ai pas faite"

durée : 00:20:25 - Lectures du soir - "Derrière mon rêve d’écrire pour le voisin qui allait me lire, il y avait l’idée d’une postérité."

durée : 00:20:10 - Lectures du soir - "Quand vous avez eu cette gloire qui a déferlé sur vous après la guerre, vous avez dit que ça a été une expérience curieuse parce que la gloire, c’était la haine en même temps."

durée : 00:19:43 - Lectures du soir - "C’est un truc bizarre, parce qu’en philosophie je ne voulais pas être créateur, je ne voulais pas être philosophe, j’estimais que c’était perdre son temps."

durée : 00:19:28 - Lectures du soir - "J’étais ma propre victime, puisque je croyais que je surprenais [les autres], que je les plongeais dans l’admiration"

durée : 00:19:21 - Lectures du soir - "Mon beau-père était le type contre lequel j’écrivais et ça a duré toute ma vie. Il trouvait que la littérature c’était futile, il trouvait qu’on ne décide pas, à 14 ans, de faire de la littérature."

durée : 00:20:04 - Lectures du soir - "Vous dites ce monde entier dont je devais parler : vous pensiez que l'écrivain doit rendre compte du monde ?"

durée : 00:29:07 - Le Feuilleton - "Des yeux qui se croisaient, de petits tressautements au fond du cœur, une chose à laquelle penser, sur laquelle s’étonner, une chose à redouter, en ce qui la concernait. "